Longévité

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Qui s'occupera de mon chien après ma mort ? Le dilemme qui prive les seniors de compagnie

Ils en ont besoin pour leur santé mais y renoncent par responsabilité. Enquête sur un sacrifice devenu inutile.

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Alexandre Faure
oct. 29, 2025
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Bienvenue sur Longévité, la newsletter qui décortique la Silver économie.

Dimanche dernier, en me promenant dans les bois au-dessus de Vernon, je suis tombé sur une compétition de canicross. Des dizaines de binômes chien-humain filaient entre les arbres, reliés par un filin élastique.

Intrigué par le concept, j’ai demandé à ma fidèle IA Perplexity de m’en dessiner les contours.

En quelques clics, j’ai découvert un écosystème complet avec sa fédération (la FFSLC qui compte 5 500 licenciés), ses championnats régionaux et nationaux, ses clubs comme Les Canipirates ou Cani n’Furious, tout un vocabulaire technique (cani-marche, cani-randonnée, cani-trail), et des boutiques spécialisées en matériel.

Cette découverte tombait bien. J’enregistre le 30 octobre un podcast avec des experts qui veulent rendre possible la présence des animaux de compagnie dans l’EHPAD où réside leur maître.

Ce qui devait être une simple curiosité m’a mené tout droit au cœur d’un paradoxe français, que je vous résume sous forme de question à laquelle j’essaie de répondre :

Pourquoi les seniors renoncent-ils à adopter un animal et comment les aider ?

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Ce podcast est inspiré par le concept du dernier chien, présenté par Nicolas Menet dans son essai de 2019, Construire la société de la longévité.

Le “dernier chien” : un concept qui me hante

Des personnes âgées qui, après la perte d’un animal, décident de ne pas en reprendre. Pas par manque d’envie. Par calcul rationnel.

Leur choix interpelle. Des personnes âgées s’auto-punissent en renonçant à prendre un animal alors qu’elles en ont eu toute leur vie, qu’elles les aiment et qu’elles les traiteront bien.

Selon mes recherches, ce renoncement qui procède d’une double angoisse : celle de ne pas survivre à l’animal, et celle de ne plus pouvoir s’en occuper physiquement. La question devient éthique :

Ai-je le droit moral d’adopter un animal à mon âge ?

Les statistiques confirment ce renoncement massif. En France, 61% des adultes possèdent un animal de compagnie. Mais cette proportion s’effondre avec l’âge : 40% des foyers de 60-69 ans en ont un, 33% des 70-79 ans seulement, et 25% des plus de 80 ans. Cette chute progressive n’est pas accidentelle. Elle est le reflet d’un choix délibéré, d’un sacrifice consenti.

L’arithmétique cruelle de l’espérance de vie

Le questionnement est légitime quand on regarde les chiffres. Un chat vit 12 à 18 ans en moyenne, certains dépassent 20 ans. Un chien atteint 10 à 13 ans, voire 12 à 16 ans pour les petites races. Une personne de 75 ans qui adopte prend un engagement jusqu’à ses 90 ans. Perspective statistiquement incertaine.

Les freins s’empilent comme des poupées russes

En creusant le sujet pour mon podcast, j’ai découvert que l’angoisse existentielle n’était que la partie émergée de l’iceberg.

Premier frein : le corps qui lâche

La mobilité réduite compromet tout. Les promenades quotidiennes d’un chien deviennent pénibles. Les déplacements chez le vétérinaire se compliquent. Le risque de chute en trébuchant sur l’animal augmente. Les troubles cognitifs, même débutants, affectent la régularité des soins. Et personne ne veut admettre qu’il n’est plus capable de s’occuper d’un être vivant.

Deuxième frein : la facture salée

Les chiffres donnent le vertige. Le coût annuel moyen oscille entre 1 200 et 1 500 euros (alimentation, vétérinaire, assurance). Sur la vie complète, un chat représente un investissement de 8 000 à 38 000 euros, un chien de 12 000 à 45 000 euros. Les experts recommandent un revenu minimum de 1 500 euros mensuels pour subvenir aux besoins d’un animal. Une condition qui exclut de facto une partie des retraités.

Troisième frein : l’EHPAD, cette épée de Damoclès

Pendant des décennies, l’entrée en EHPAD signifiait l’abandon de l’animal. Cette réalité pesait comme une menace permanente, renforçant le sentiment qu’adopter à un certain âge était irresponsable.

Quatrième frein : la discrimination pure et simple

C’est le plus insidieux. Plusieurs refuges découragent ou refusent l’adoption aux personnes de plus de 65 ans. Les motifs invoqués : le risque de décès du propriétaire, l’anticipation d’un placement en maison de retraite, la présomption d’incapacité physique. Pourtant, aucune limite d’âge légale n’existe en France pour l’adoption d’animaux. Cette pratique constitue une forme d’âgisme que les principaux concernés dénoncent.

Le paradoxe qui m’obsède : renoncer quand on en a le plus besoin

En préparant mon podcast, j’ai épluché les études scientifiques sur les bénéfices de la présence animale. Les résultats sont nets.

Sur le plan physique

Les propriétaires d’animaux présentent une réduction de 24% de la probabilité de mort prématurée. Leur pression artérielle est plus basse, leur risque cardiovasculaire diminué, leur système immunitaire renforcé par l’activité physique régulière.

Sur le plan psychologique

L’impact est probant. La possession d’un animal réduit de 48% le risque de dépression, un effet comparable à celui d’une visite mensuelle au musée. Le taux de cortisol (hormone du stress) diminue tandis que la production d’endorphines et d’ocytocine augmente. Pour 81% des seniors, les animaux apportent tendresse et affection.

Sur le plan social

Pour les propriétaires de chiens, les promenades génèrent des contacts sociaux réguliers. Un senior sur trois estime que la majorité de ses interactions sociales proviennent de ces balades. Des groupes de promenade canine se forment. Plus révélateur encore : 44% des seniors déclarent parler plus à leur animal qu’à leurs enfants, et 30% passent des journées entières sans parler à personne d’autre que leur compagnon.

Des études récentes suggèrent même que la possession d’un chien réduirait le risque de démence, grâce au maintien d’une stimulation cognitive et sociale constante. Pour 68% des Français, l’animal est un membre de la famille à part entière. Chez les seniors, c’est encore plus marqué : pour un senior sur quatre, l’animal est la “personne” la plus importante dans leur vie.

Face à ces données, le renoncement massif à l’adoption n’est pas qu’une perte de qualité de vie individuelle. C’est un enjeu de santé publique.

2024-2025 : l’année où tout bascule

En discutant avec mes invités du podcast, j’ai compris qu’on vivait un tournant historique. La période 2024-2025 marque une double révolution : législative et entrepreneuriale.

La loi qui change tout

Le 8 avril 2024, la France vote la loi portant mesures pour bâtir la société du bien vieillir. Depuis le 5 mars 2025, les résidents d’EHPAD et de résidences autonomie ont un droit garanti d’accueillir leur animal de compagnie.

Fin des abandons contraints. Fin de l’épée de Damoclès.

Les conditions restent encadrées : certificat vétérinaire attestant de l’identification, des vaccinations à jour, de la stérilisation si nécessaire et de la non-dangerosité de l’animal. Le résident doit assurer les soins vétérinaires et l’alimentation, fournir le matériel de contention nécessaire, respecter les règles d’hygiène et de sécurité. Mais le principe est acquis.

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2 years ago · 2 likes · 1 comment · Alexandre Faure and la Filière Silver économie

Le décalage entre le droit et la réalité

Sur le terrain, l’application reste variable. Certains établissements invoquent des difficultés pratiques pour limiter l’accueil effectif. Les chiffres témoignent du décalage : 78% des Français aimeraient emmener leur animal en maison de retraite, mais 12% seulement estiment que les établissements sont adaptés.

Le cadre légal existe. Reste à généraliser son application concrète. C’est l’objet du projet porté par mes invités du podcast.

Les solutions qui lèvent le frein principal

En préparant mon entretien, j’ai découvert des dispositifs que j’ignorais.

La SPA et son coup de génie : Famille Seniors

Le programme est simple mais révolutionnaire. L’animal est confié (et non adopté) à la personne âgée. La SPA reste propriétaire, assure un accompagnement et un suivi régulier, prend en charge les frais vétérinaires et alimentaires selon les revenus, et s’engage à récupérer l’animal en cas de problème ou de décès.

Ce dispositif lève le frein principal du “dernier chien”. La personne âgée n’a plus à craindre pour l’avenir de son compagnon.

L’opération Doyens : marier les espérances de vie

La Fondation 30 Millions d’Amis a eu une autre idée : favoriser l’adoption d’animaux de 10 ans et plus. Le principe : prise en charge des frais vétérinaires jusqu’à 800 euros, 120 refuges participants en France, don libre ou frais d’adoption réduits.

Pourquoi c’est malin ? Parce que l’adoption d’animaux seniors présente plusieurs avantages. L’espérance de vie réduite correspond mieux à celle de l’adoptant. Le caractère est déjà formé, pas de phase d’éducation. L’animal a moins d’énergie et de besoins en activité physique intense. Il est souvent déjà habitué à la vie en intérieur.

On marie les espérances de vie. Évident, non ?

Les familles relais : l’assurance vie version animale

D’autres mécanismes se structurent. Les dispositifs de famille relais : des bénévoles s’engagent à accueillir les animaux en cas d’hospitalisation ou de décès du propriétaire. Ce réseau, animé par la SPA et des associations locales, sécurise l’avenir de l’animal.

Sur le plan assurantiel, certaines polices incluent désormais un capital décès d’environ 200 euros et la possibilité de transfert du contrat au nouveau propriétaire. Le marché reste embryonnaire mais progresse.

La dimension juridique : planifier plutôt que subir

En creusant le sujet, j’ai découvert que le droit avait évolué mais restait méconnu.

L’animal : ni meuble, ni personne

Depuis la loi du 16 février 2015, l’animal est reconnu comme “un être vivant doué de sensibilité” (article 515-14 du Code civil). Avancée symbolique importante.

Mais lors d’une succession, il demeure intégré dans la masse successorale au même titre que les biens meubles. Conséquence : ce sont les enfants ou le conjoint survivant qui héritent de l’animal. Les héritiers peuvent décider de le prendre en charge, de le confier à une association, un proche ou une structure d’accueil. En cas de désaccord, un juge arbitre en tenant compte du bien-être de l’animal.

Les outils testamentaires méconnus

Des dispositions testamentaires permettent d’anticiper. On peut léguer l’animal à une personne désignée via testament notarié. On peut imposer des charges aux héritiers : obligation de soin, interdiction de placement en refuge. On peut léguer l’animal à une association avec un capital pour subvenir à ses besoins. On peut même mettre en place une fiducie ou un mandat posthume (dispositifs reconnus dans certains pays, encore limités en France).

Cette planification transforme l’équation. On passe du “je ne peux pas adopter car je ne sais pas ce qu’il deviendra” au “j’adopte en ayant organisé son avenir”. La différence n’est pas sémantique. Elle est psychologique et éthique.

L’écosystème qui se structure : où sont les opportunités ?

En préparant mon podcast, j’ai cartographié tout l’écosystème de services qui se développe autour des seniors et de leurs animaux. Le marché de la “Silver Pet Economy” est en structuration rapide.

L’univers des loisirs collectifs : un marché insoupçonné

Rappelez-vous mon canicross de dimanche dernier. Ce n’était que la pointe de l’iceberg. La FFSLC compte 5 500 licenciés. Les disciplines douces explosent : cani-marche (version douce du canicross), cani-randonnée (promenades nature longues distances), agility (parcours d’obstacles guidés). Des clubs comme Les Canipirates (95/92/78) ou Cani n’Furious (Yvelines) proposent des entraînements participatifs.

Des infrastructures dédiées émergent. Le Village Canin à Saint-Amand-les-Eaux a créé un complexe de 2 000m² entièrement dédié aux sports canins. Dynamic Dogs (Evry-Courcouronnes) propose 2 500m² de terrains couverts, la plus grande salle couverte de France.

Les disciplines créatives se multiplient. Le Dog Dancing combine chorégraphie musicale et obéissance, avec des championnats de France et du Monde. Le Treibball, sport allemand où le chien pousse des ballons guidé à distance par son maître, se pratique dans un jardin. Le Nosework (travail au flair) est adapté aux seniors à mobilité réduite car il ne nécessite pas d’effort physique intense. Le Doga (yoga avec son chien) connaît un succès croissant, avec des ateliers comme My Karma Dog à Paris ou Puppy Yoga Paris.

Au-delà des infrastructures physiques, le numérique change la donne. Trois applications transforment la socialisation canine.

  • MyDogSociety permet de localiser des lieux “dogfriendly” sur carte interactive, d’organiser ou rejoindre des promenades collectives, de partager des avis sur les lieux.

  • Doug (Doogy) facilite la recherche et l’organisation de balades canines en quelques clics, résolvant les problèmes de distance et de désistements.

  • PlayDogs, créée par Jennifer Boulaud en 2020, référence plus de 17 000 lieux dogfriendly avec GPS intégré pour les promenades, parcs, restaurants, hébergements.

Ces plateformes permettent aux seniors isolés de créer des communautés locales de propriétaires, facilitant les rencontres régulières et le soutien mutuel.

La médiation animale et l’intergénérationnel

Les projets se multiplient. Des associations comme Otrement interviennent en EHPAD avec chiens, chats, hamsters, lapins, chevaux. Les bénéfices sont mesurés : amélioration des interactions sociales entre résidents, réduction de l’agitation et de l’anxiété, stimulation cognitive.

Les projets intergénérationnels se développent. Anim’maux (Haute-Saône) organise des ateliers découverte d’animaux, créations manuelles, rencontres intergénérationnelles entre enfants et seniors autour de la présence animale. Le partenariat Tom&Josette x Espace & Vie (Brest) installe une micro-crèche dans une résidence seniors avec ateliers hebdomadaires communs incluant la médiation animale (chiens, chats, chevaux).

Pour les seniors, l’impact est net : renouer du lien social, effets positifs sur l’humeur, travail de la mémoire (évoquer les animaux d’enfance), stimulation cognitive. Pour les enfants : trouver en la personne âgée quelqu’un qui a du temps, de la patience, favorise l’épanouissement psychologique.

Les segments à fort potentiel

Six segments présentent des opportunités majeures.

  1. Les assurances avec clause successorale étendue. Le marché manque de produits permettant une transmission du contrat avec capital garanti pour soins futurs.

  2. Les plateformes de famille relais certifiées. La structuration nationale d’un réseau de familles relais certifiées et rémunérées reste à construire.

  3. Les services vétérinaires à domicile spécialisés seniors. La mobilité réduite complique les visites vétérinaires. Une niche existe : téléconsultation adaptée, visite à domicile avec tarifs seniors, partenariats avec résidences services.

  4. L’adoption assistée avec accompagnement post-adoption. Au-delà du programme SPA, un modèle privé pourrait se développer : suivi régulier personnalisé, aide aux démarches administratives, soutien logistique (transport vétérinaire, garde temporaire).

  5. Les coliving, résidences et cohabitats pet-friendly by design. Seuls 12% des Français estiment les établissements adaptés. L’opportunité : espaces canins intégrés dès la conception, services vétérinaires partenaires sur place, animation structurée autour des animaux. Différenciateur commercial majeur.

  6. L’assurance “chien-chat” sur laquelle je fais un focus pour les abonnés premium à la fin de la newsletter.

Mon verdict après cette plongée

Le “dernier chien” de Nicolas Menet n’est pas une fatalité. Il procède d’un système où les contraintes s’accumulent sans que les solutions ne soient visibles, accessibles ou structurées.

Aujourd’hui, les outils existent. Le cadre législatif est renforcé : droit d’emmener son animal en EHPAD depuis mars 2025. Les dispositifs associatifs se multiplient : SPA Famille Seniors, Opération Doyens, familles relais. L’adoption d’animaux seniors se développe : espérance de vie réduite, caractère formé. La planification successorale s’affine : testament, legs, charges imposées aux héritiers.

La question n’est plus “faut-il renoncer ?” mais “comment organiser ?”.

Car les études le démontrent : avoir un animal de compagnie n’est pas un luxe pour les seniors. C’est un facteur de santé publique. Réduction de 24% de la mortalité prématurée, baisse de 48% de la dépression, maintien de l’activité physique, lutte contre l’isolement social.

Le véritable enjeu n’est pas de savoir si les personnes âgées ont le droit moral d’adopter un animal. C’est de garantir leur liberté de le faire si elles le souhaitent, en leur donnant les moyens d’anticiper.

Le renoncement par précaution n’est légitime que lorsque les solutions manquent. Aujourd’hui, elles existent. Reste à les faire connaître, les structurer, et les généraliser. C’est l’objectif de mes invités du 30 octobre. J’ai hâte de les entendre.

Ce focus ne serait pas complet sans un zoom sur l’assurance “Chien Chat” LA grosse opportunité business sur laquelle il reste tant à faire !

Assurance “chien chat” : le marché que tout le monde ignore

En cartographiant l’écosystème de la Silver Pet Economy pour mon podcast, j’ai buté sur un angle mort : l’assurance chien-chat. Un marché que tout le monde néglige alors que les opportunités sont énormes.

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