J’ai le sentiment que les femmes prennent de plus en plus conscience de cette prévention. Le fait de parler de plus en plus des symptômes et risques de la ménopause, je vois de plus en plus de femmes de 50 ans me demander des conseils pour limiter ses effets. On parle maintenant de capital santé. Un sujet que je continue d’explorer car il s’agit de travailler sur la santé mentale : image de soi notamment après 50 ans mais de l’image de la femme en général
Tu as raison, le sujet ménopause explose depuis peu et c’est l’un des indices d’une nouvelle façon d’être « en santé » autour d’une étape de vie. Des apps et des programmes se développent (suivant un modèle que j’ai étudié l’an dernier dans mon essai sur le selfcare). C’est un mouvement à suivre, car il est très prometteur et ne se limite pas à une cible senior (et intéressera donc des parties prenantes en-dehors de notre cercle «traditionnel »).
J’ai le sentiment que les femmes prennent de plus en plus conscience de cette prévention. Le fait de parler de plus en plus des symptômes et risques de la ménopause, je vois de plus en plus de femmes de 50 ans me demander des conseils pour limiter ses effets. On parle maintenant de capital santé. Un sujet que je continue d’explorer car il s’agit de travailler sur la santé mentale : image de soi notamment après 50 ans mais de l’image de la femme en général
Tu as raison, le sujet ménopause explose depuis peu et c’est l’un des indices d’une nouvelle façon d’être « en santé » autour d’une étape de vie. Des apps et des programmes se développent (suivant un modèle que j’ai étudié l’an dernier dans mon essai sur le selfcare). C’est un mouvement à suivre, car il est très prometteur et ne se limite pas à une cible senior (et intéressera donc des parties prenantes en-dehors de notre cercle «traditionnel »).