Veille | Analyse d'études | Vieillir dans les grands ensembles | Impact des aménagements sur le bien vieillir | Lien entre entourage familial et bien être des seniors en habitat collectif
Je trouve ce sujet passionnant mais, pour moi (ces propos n'engage que moi), c'est du blabla pour rien.
Sur le papier c'est joli tout ça, ça fait des années que l'on entend ça et là parler du sujet. Qu'est ce qui a changé/bougé ? Rien, c'est de pire en pire pour nos aînés.
Tout comme le handicap, tout le monde s'en fout ! Ça ne fait pas partie des priorités mais on en parle pour montrer que l'on s'en préoccupe tout de même un temps soit peu... C'est à nous, acteurs privé.es (particuliers) d'imaginer de nouveaux concepts pour les personnes âgées/Handicapées et leur bien être. Si les choses sont bien pensées, qu'elles plaisent, elles auront du succès et seront de fait rentables. Je rêve de pouvoir faire mon Buurtzorg Français ou l'être humain serait au centre et non pas l'argent !!
L'argent est une conséquence du travail bien fait, enfin à mon sens...
D'abord, le fait même que vous connaissiez Buurtzorg montre la pertinence des publications scientifiques et des études. Car ce qui a rendu ce dispositif néerlandais si populaire dans le monde entier, c'est son analyse dans le best-seller de Frédéric Laloux "Reinventing Organizations". Sans cet ouvrage scientifique, l'entreprise créée par Jos de Blok serait restée obscure pour tout le monde, comme le sont de nombreuses entreprises innovantes partout dans le monde.
La recherche scientifique doit produire du contenu pour éclairer les parties prenantes, même si cela ne débouche pas sur des actions immédiates.
Et c'est encore plus vrai dans le champ du vieillissement ou du handicap, car ces matières resteront toujours des préoccupations de spécialistes.
Je ne pense pas qu'on puisse honnêtement affirmer que rien n'a bougé dans ces domaines, mais nous ne pouvons pas espérer qu'ils deviendront un jour mainstream. Il s'agit, pour une majorité de citoyens, de traiter un problème qui ne touche pas tout le monde.
Et donc, même si l'on peut espérer une organisation spatiale qui tienne compte du handicap ou de la dépendance, la plupart des citoyens "valides" ne veulent pas en entendre parler.
Le rôle des spécialistes de ces domaines n'est donc pas tant de le rendre mainstream, mais plutôt d'adapter la société pour qu'elle ne soit pas inégalitaire pour les personnes handicapées ou souffrant d'une perte d'autonomie.
Je trouve ce sujet passionnant mais, pour moi (ces propos n'engage que moi), c'est du blabla pour rien.
Sur le papier c'est joli tout ça, ça fait des années que l'on entend ça et là parler du sujet. Qu'est ce qui a changé/bougé ? Rien, c'est de pire en pire pour nos aînés.
Tout comme le handicap, tout le monde s'en fout ! Ça ne fait pas partie des priorités mais on en parle pour montrer que l'on s'en préoccupe tout de même un temps soit peu... C'est à nous, acteurs privé.es (particuliers) d'imaginer de nouveaux concepts pour les personnes âgées/Handicapées et leur bien être. Si les choses sont bien pensées, qu'elles plaisent, elles auront du succès et seront de fait rentables. Je rêve de pouvoir faire mon Buurtzorg Français ou l'être humain serait au centre et non pas l'argent !!
L'argent est une conséquence du travail bien fait, enfin à mon sens...
Merci Alexandre 😊
Je ne suis pas d'accord avec vous Sylvain.
D'abord, le fait même que vous connaissiez Buurtzorg montre la pertinence des publications scientifiques et des études. Car ce qui a rendu ce dispositif néerlandais si populaire dans le monde entier, c'est son analyse dans le best-seller de Frédéric Laloux "Reinventing Organizations". Sans cet ouvrage scientifique, l'entreprise créée par Jos de Blok serait restée obscure pour tout le monde, comme le sont de nombreuses entreprises innovantes partout dans le monde.
La recherche scientifique doit produire du contenu pour éclairer les parties prenantes, même si cela ne débouche pas sur des actions immédiates.
Et c'est encore plus vrai dans le champ du vieillissement ou du handicap, car ces matières resteront toujours des préoccupations de spécialistes.
Je ne pense pas qu'on puisse honnêtement affirmer que rien n'a bougé dans ces domaines, mais nous ne pouvons pas espérer qu'ils deviendront un jour mainstream. Il s'agit, pour une majorité de citoyens, de traiter un problème qui ne touche pas tout le monde.
Et donc, même si l'on peut espérer une organisation spatiale qui tienne compte du handicap ou de la dépendance, la plupart des citoyens "valides" ne veulent pas en entendre parler.
Le rôle des spécialistes de ces domaines n'est donc pas tant de le rendre mainstream, mais plutôt d'adapter la société pour qu'elle ne soit pas inégalitaire pour les personnes handicapées ou souffrant d'une perte d'autonomie.
En clair, nous sommes des acteurs de l'ombre !