Entre fraude aux pensions, données bidon et villes qui paient des millions pour une certification inutile : autopsie du plus beau conte de fées de la longévité.
Merci pour cet article intéressant et argumenté. Je reste pourtant mitigé à l’idée de “dézinguer” le concept de Zones Bleues… Certes, Dan Buttler a eu le génie ( ou l’indécence) de faire des zones bleues un business (ils étaient 3 au départ à avoir mis à jour ces fameuses zones bleues, que sont devenus les 2 autres?).
Aujourd’hui, le concept “prend”, “touche” le grand public. Il a des vertus pédagogiques pour le plus grand nombre.
Et si c’était cela le plus important? Et si les zones bleues avaient la vertu de montrer que par notre style de vie nous avons le moyen d’agir sur notre longevité et plus largement notre santé?
Il suffit de faire une veille pour lire un jour que ce sont les contacts sociaux les plus importants pour la longevité puis voir le lendemain un autre chercheur dire que c’est l’alimentation puis pour un autre l’activité physique.
Le concept de Zones Bleues a la vertu de montrer que c’est l’interaction de différents paramètres de notre mode de vie qui modifie le cours de notre longévité.
Alors, personnellement, je crois au vertu du modèle des zones bleues - même s’il est approximatif - et sur la partie business, à chacun d’être vigilant.
Les zones bleues, devenues un label commercial, proposent des solutions standardisées sans preuve d'efficacité réelle.
Qu'une ville se ruine dans une labellisation Blue Zone et renonce pour cela à des aménagements à plus fort impact, ce n'est pas normal.
Qu'un promoteur commercialise un resort Blue Zone faisant croire qu'on y vit plus longtemps n'est pas non plus très recommandable.
Tandis que Buettner défend son concept sur Netflix, des chercheurs et des médecins valident scientifiquement la pertinence ou la non-pertinence de tel ou tel processus.
Cela nous renvoie aux pratiques discutables des biohackers amateurs qui dévalorisent le vrai travail scientifique sur la longévité.
Merci pour cet article intéressant et argumenté. Je reste pourtant mitigé à l’idée de “dézinguer” le concept de Zones Bleues… Certes, Dan Buttler a eu le génie ( ou l’indécence) de faire des zones bleues un business (ils étaient 3 au départ à avoir mis à jour ces fameuses zones bleues, que sont devenus les 2 autres?).
Aujourd’hui, le concept “prend”, “touche” le grand public. Il a des vertus pédagogiques pour le plus grand nombre.
Et si c’était cela le plus important? Et si les zones bleues avaient la vertu de montrer que par notre style de vie nous avons le moyen d’agir sur notre longevité et plus largement notre santé?
Il suffit de faire une veille pour lire un jour que ce sont les contacts sociaux les plus importants pour la longevité puis voir le lendemain un autre chercheur dire que c’est l’alimentation puis pour un autre l’activité physique.
Le concept de Zones Bleues a la vertu de montrer que c’est l’interaction de différents paramètres de notre mode de vie qui modifie le cours de notre longévité.
Alors, personnellement, je crois au vertu du modèle des zones bleues - même s’il est approximatif - et sur la partie business, à chacun d’être vigilant.
Les zones bleues, devenues un label commercial, proposent des solutions standardisées sans preuve d'efficacité réelle.
Qu'une ville se ruine dans une labellisation Blue Zone et renonce pour cela à des aménagements à plus fort impact, ce n'est pas normal.
Qu'un promoteur commercialise un resort Blue Zone faisant croire qu'on y vit plus longtemps n'est pas non plus très recommandable.
Tandis que Buettner défend son concept sur Netflix, des chercheurs et des médecins valident scientifiquement la pertinence ou la non-pertinence de tel ou tel processus.
Cela nous renvoie aux pratiques discutables des biohackers amateurs qui dévalorisent le vrai travail scientifique sur la longévité.