Bonjour Alexandre, Âgé de 78 ans et vendant des viagers depuis 1977, j'ai maintenant l'âge de mes vendeurs et je peux témoigner que l'IA doit s'arrêter juste avant le contact avec le sénior afin que celui-ci est un échange direct avec un être humain. Un bon exemple Click&Moi est un très bon prestataire mais il manque un contact humain style "SOS Numérique" avec un abonnement mensuel pour assurer les frais fixes + coût de la prestation/temps par exemple. Des milliers de séniors ont besoin de cette aide, n'osent pas le dire et de nombreux contrats ne sont pas signés à cause de cette coupure numérique : "Il y a l'intelligence artificielle, il y a aussi la connerie naturelle" (Edgar Morin, philosophe-sociologue âgé de 103 ans)
Merci pour votre retour, Dominique. Le problème de personnalisation de la relation client ne date pas de l'IA et n'est pas propre à la Silver économie. Je le vois, comme vous, dans la vente, mais aussi dans le SAV.
Trop d'entreprises se fient à la tech pour diminuer les coûts humains de la relation client, en imposant à leurs clients / prospect des canaux non humains et en conditionnant le dialogue avec une vraie personne à un échange épuisant avec un robot, soit via un chat, soit via un répondeur téléphonique (les fameux SVO en langage naturel).
J'ai testé les premiers avatars en 2010, c'est dire si le sujet remonte, et la préoccupation des entreprises était toujours la réduction des coûts (un appel de 3 mn coûtant à l'entreprise entre 3 et 25 € selon le salaire de la personne qui répond).
Non seulement je suis d'accord avec vous et milite pour plus d'humain dans le SAV, mais j'ajouterai la nécessité, pour un service qui voudrait fidéliser des seniors (et je m'inclus dans le lot), de proposer un interlocuteur dédié qui connaît votre dossier et vous connaît.
Ce qui s'avère difficile et de plus en plus rare, mais peut justement constituer un atout différenciant majeur, notamment dans les services où la concurrence est rude !
Bonjour Alexandre merci pour votre retour et je partage votre analyse. Néanmoins, le problème que j'ai soulevé n'est pas la personnalisation de la relation client mais plutôt le manque d'un "SOS minute" numérique, une aide ponctuelle et immédiate car bloqué face à la binarité du choix de la réponse à un moment T et ses conséquences souvent irréversibles...
Bonjour Alexandre, Âgé de 78 ans et vendant des viagers depuis 1977, j'ai maintenant l'âge de mes vendeurs et je peux témoigner que l'IA doit s'arrêter juste avant le contact avec le sénior afin que celui-ci est un échange direct avec un être humain. Un bon exemple Click&Moi est un très bon prestataire mais il manque un contact humain style "SOS Numérique" avec un abonnement mensuel pour assurer les frais fixes + coût de la prestation/temps par exemple. Des milliers de séniors ont besoin de cette aide, n'osent pas le dire et de nombreux contrats ne sont pas signés à cause de cette coupure numérique : "Il y a l'intelligence artificielle, il y a aussi la connerie naturelle" (Edgar Morin, philosophe-sociologue âgé de 103 ans)
Merci pour votre retour, Dominique. Le problème de personnalisation de la relation client ne date pas de l'IA et n'est pas propre à la Silver économie. Je le vois, comme vous, dans la vente, mais aussi dans le SAV.
Trop d'entreprises se fient à la tech pour diminuer les coûts humains de la relation client, en imposant à leurs clients / prospect des canaux non humains et en conditionnant le dialogue avec une vraie personne à un échange épuisant avec un robot, soit via un chat, soit via un répondeur téléphonique (les fameux SVO en langage naturel).
J'ai testé les premiers avatars en 2010, c'est dire si le sujet remonte, et la préoccupation des entreprises était toujours la réduction des coûts (un appel de 3 mn coûtant à l'entreprise entre 3 et 25 € selon le salaire de la personne qui répond).
Non seulement je suis d'accord avec vous et milite pour plus d'humain dans le SAV, mais j'ajouterai la nécessité, pour un service qui voudrait fidéliser des seniors (et je m'inclus dans le lot), de proposer un interlocuteur dédié qui connaît votre dossier et vous connaît.
Ce qui s'avère difficile et de plus en plus rare, mais peut justement constituer un atout différenciant majeur, notamment dans les services où la concurrence est rude !
Bonjour Alexandre merci pour votre retour et je partage votre analyse. Néanmoins, le problème que j'ai soulevé n'est pas la personnalisation de la relation client mais plutôt le manque d'un "SOS minute" numérique, une aide ponctuelle et immédiate car bloqué face à la binarité du choix de la réponse à un moment T et ses conséquences souvent irréversibles...