Surtout si mamie n'a pas mis sa ceinture airbag
Si LA lutte contre la chute du dollar semble prioritaire sur la chute de personne vieillissante,
(malgrĂ© leurs expĂ©riences d ĂȘtre dĂ©jĂ tombĂ©e amoureux ) "laisse bĂ©ton alors" ? :)
Oui, en plus de la sensibilisation aux moyens efficaces de prévention, pourquoi ne pas mieux analyser toute ces déclarations d évÚnements indésirables de chutes par les Représentant des Usagers des ARS ?
Oui, pourquoi ?
C'est bien le problÚme. Les informations, nous les avons déjà , alors pourquoi commander de nouvelles études transversales au lieu de se pencher sur l'abondante littérature existante ?
Peut-ĂȘtre parce qu'il y a "un budget Ă dĂ©penser" et que "si on ne le dĂ©pense pas, on n'en aura pas l'annĂ©e prochaine"... et que de toute façon, cet argent doit bien servir Ă quelque chose !
Fantastique administration ;)
Je sais de qui tu parles, et je vais ĂȘtre trĂšs attentif Ă la prochaine ...
La problématique de la chute des personnes ùgées est au centre de mes préoccupations de kiné, et je te suis à 100% quand tu dis préférer travailler sur l'évÚnement que sur tous les machins que les politiques vont mettre en place pour limiter les coûts du tour de manÚge Hospitalier.
Le plus drĂŽle, c'est que ces mĂȘmes politiques sont partiellement responsables de ce coĂ»t, depuis qu'ils ont inventĂ© la rentabilitĂ© des services. Combien de fois j'ai du faire de gros efforts pour extraire des patients de services de soins de suite et de rĂ©adaptation, alors qu'aucun soins ne pouvant pas ĂȘtre faits Ă domicile ne leur Ă©taient offerts.
Laissons les s'amuser avec leurs calculettes et que les gens sérieux se mettent au boulot pour s'attaquer aux vrais problÚmes, pour éviter les chutes et leur impact.
Et tant pis, si on réussit notre mission et qu'ils s'en attribuent les lauriers croyants que les 263 réunions, 78 audits, et quelques centaines de milliers d'euros cramés dans l'agitation auront eu raison de la problématique de la chute du sujet ùgé.
Oui, la rentabilité et la T2A sont de vraies plaies pour des établissements qui sont pensés comme des unités de production et non plus comme un service public qui veille à la santé de ses patients. Et le plus triste dans l'affaire, c'est que ces systÚmes manageriaux ont été appliqués aux établissements parce que des cabinets de conseil ont persuadé les décideurs politiques que c'était la meilleure maniÚre de travailler, vu que ça marche dans l'industrie !
Je suis content que tu voies de qui je parle, mais je suis curieux de savoir ce que tu penses de son service. Tu me le diras dans ton commentaire de dimanche prochain !
Si LA lutte contre la chute du dollar semble prioritaire sur la chute de personne vieillissante,
(malgrĂ© leurs expĂ©riences d ĂȘtre dĂ©jĂ tombĂ©e amoureux ) "laisse bĂ©ton alors" ? :)
Oui, en plus de la sensibilisation aux moyens efficaces de prévention, pourquoi ne pas mieux analyser toute ces déclarations d évÚnements indésirables de chutes par les Représentant des Usagers des ARS ?
Oui, pourquoi ?
C'est bien le problÚme. Les informations, nous les avons déjà , alors pourquoi commander de nouvelles études transversales au lieu de se pencher sur l'abondante littérature existante ?
Peut-ĂȘtre parce qu'il y a "un budget Ă dĂ©penser" et que "si on ne le dĂ©pense pas, on n'en aura pas l'annĂ©e prochaine"... et que de toute façon, cet argent doit bien servir Ă quelque chose !
Fantastique administration ;)
Je sais de qui tu parles, et je vais ĂȘtre trĂšs attentif Ă la prochaine ...
La problématique de la chute des personnes ùgées est au centre de mes préoccupations de kiné, et je te suis à 100% quand tu dis préférer travailler sur l'évÚnement que sur tous les machins que les politiques vont mettre en place pour limiter les coûts du tour de manÚge Hospitalier.
Le plus drĂŽle, c'est que ces mĂȘmes politiques sont partiellement responsables de ce coĂ»t, depuis qu'ils ont inventĂ© la rentabilitĂ© des services. Combien de fois j'ai du faire de gros efforts pour extraire des patients de services de soins de suite et de rĂ©adaptation, alors qu'aucun soins ne pouvant pas ĂȘtre faits Ă domicile ne leur Ă©taient offerts.
Laissons les s'amuser avec leurs calculettes et que les gens sérieux se mettent au boulot pour s'attaquer aux vrais problÚmes, pour éviter les chutes et leur impact.
Et tant pis, si on réussit notre mission et qu'ils s'en attribuent les lauriers croyants que les 263 réunions, 78 audits, et quelques centaines de milliers d'euros cramés dans l'agitation auront eu raison de la problématique de la chute du sujet ùgé.
Oui, la rentabilité et la T2A sont de vraies plaies pour des établissements qui sont pensés comme des unités de production et non plus comme un service public qui veille à la santé de ses patients. Et le plus triste dans l'affaire, c'est que ces systÚmes manageriaux ont été appliqués aux établissements parce que des cabinets de conseil ont persuadé les décideurs politiques que c'était la meilleure maniÚre de travailler, vu que ça marche dans l'industrie !
Je suis content que tu voies de qui je parle, mais je suis curieux de savoir ce que tu penses de son service. Tu me le diras dans ton commentaire de dimanche prochain !