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Silver économie 🤔 Les tendances du marché pour 2023 - Partie 2/3
Épargne retraite 2.0 : les retiretechs
Ce deuxième dossier consacré aux tendances du marché Silver économie pour 2023 s’intéresse au développement de fintechs spécialisées dans l’anticipation de la retraite, les retiretechs.
Mais avant de mettre les pieds dans le plat, je tiens à vous adresser à tous, chers abonnés, mes remerciements les plus chaleureux.
Merci à vous, mes abonnés fidèles qui ont lu, apprécié et partagé le précédent épisode consacré à la prévention santé.
Bienvenue à vous, mes nouveaux abonnés qui ont accouru en masse cette semaine.
Chaleureuse accolade à vous, mes 20 premiers abonnés Premium à qui je vais adresser notre 2ème dossier Premium demain à 18 heures pétantes.
Ce dossier premium sera consacré à l’accès des seniors au crédit. Il vient compléter le dossier d’aujourd’hui (celui que vous lisez en ce moment même) où je vous présente les retiretechs, ces fameuses fintechs qui se spécialisent dans la préparation financière à la retraite.
Le plat du jour
Aujourd’hui, vous allez découvrir pourquoi et comment ces start-up pourraient bien révolutionner la prévention de la perte d’autonomie, en s’adressant à un public plus jeune que la Silver économie “classique”.
Un public de jeunes actifs qui s’inquiètent de devoir payer une retraite à leurs aînés et de ne pas pouvoir bénéficier de la même rente quand ils atteindront 64 ans, dans de nombreuses années.
Délimitation du sujet
Je vais me concentrer sur les besoins de ce public, le faible niveau de satisfaction obtenu avec l’offre actuelle et les atouts de l’offre développée par les retiretechs.
Je ne parlerai pas des solutions d’accompagnement à la retraite développées par les Carsat, les caisses complémentaires de retraite ou des start-up comme Alphonse, mais j’en parlerai une prochaine fois.
Je n’aborderai pas le sujet de l’emploi des seniors et des jobs board qui s’y consacrent, comme Teepy Job, mais j’en parlerai une prochaine fois aussi.
Je n’entrerai pas dans le détail des produits financiers, car ce n’est pas ma spécialité.
Si vous souhaitez approfondir cet aspect spécifique, je vous recommande la lecture du dossier Snowball consacré à la retraite.
Sujet brûlant 🥵
La retraite est sur toutes les lèvres en ce moment avec la réforme proposée par le gouvernement Borne début janvier 2023. Et s’il mobilise des citoyens qui vont battre le pavé le 31 janvier pour manifester leur désaccord, le sujet inquiète tout spécialement les jeunes actifs.
La retraite en France
Il ne vous a pas échappé que le but de la réforme des retraites est de préserver notre système de retraite par répartition. Ce système instauré en France en 1945, mais inventé en Allemagne à la fin du XIXè siècle (par Bismarck), repose sur une solidarité intergénérationnelle : les actifs (et les entreprises) financent la retraite des retraités.
La retraite en France est obligatoire avec deux régimes : le régime de base et le régime complémentaire.
Un système surcomplémentaire facultatif peut venir compléter la pyramide et permet de compenser la perte de revenu qui survient à la retraite.
Les réformes sont nécessaires pour préserver les deux premiers étages de la pyramide. Car en France, vu qu’on bénéficie de ces premiers étages obligatoires, le taux de recours à la surcomplémentaire est dérisoire.
Selon une enquête publiée par l’INSEE en février 20201, la place de la retraite supplémentaire dans l’ensemble des régimes de retraite demeure marginale. La part des cotisations versées à ce titre par rapport à l’ensemble des cotisations acquittées est de 4,9 % en 2017, et les prestations servies ne représentent que 2,1 % de l’ensemble des prestations de retraite versées.
Mais cela risque de changer, car si l’on en croit les projections réalisées par le Conseil d’Orientation des Retraites (COR) en 20192, le taux de remplacement va poursuivre son inexorable chute dans les abysses.
Taux de remplacement
Le taux de remplacement correspond au pourcentage de votre salaire d’actif auquel vous pourrez prétendre une fois retraité. Et malheureusement, il dévisse depuis des années à cause de la transition démographique : moins d’actifs, plus de retraités, des retraites plus longues.
Voyez plutôt sur ce graphique qui en dit plus long qu’un discours d’académicien

Cette configuration nous oblige à ne plus envisager la retraite comme un sujet qui se règle à l’Assemblée Nationale.
Non.
Nous devons prendre conscience qu’une part significative de notre revenu de retraité résultera d’un effort d’épargne individuelle et volontaire que nous aurons consenti pendant notre vie active.
Combler le trou dans la raquette
Cela ne va pas se faire tout seul.
Le régime obligatoire nous rend feignants et si vous n’avez pas un patrimoine suffisant pour vous payer les services d’un CGP (conseiller en gestion de patrimoine), le conseil en finances personnelles pour futurs retraités est anémique.
Et pourtant, il s’éveille à en croire les inquiétudes exprimées par des jeunes qui craignent de voir la retraite leur passer sous le nez.
Des jeunes conscients qu’ils risquent de perdre leur autonomie financière une fois qu’ils auront l’âge de la retraite.
Des jeunes désireux d’anticiper en adoptant une attitude volontariste à l’égard des finances personnelles.
Prévenir la perte d’autonomie financière
C’est une bonne nouvelle, non ?
Voici enfin un sujet de prévention de la perte d’autonomie auquel ces jeunes actifs s’intéressent.
Nous ne pouvons pas déplorer le désintérêt généralisé pour la prévention de la perte d’autonomie et ne pas être heureux de voir que l’autonomie financière préoccupe notre jeunesse.
Nous ne comptons plus sur les autres pour préparer notre retraite. Nous savons qu'il faut anticiper et la préparer soi-même. (Proposition de valeur Caravel)
La faillite du modèle social français ?
Il y a un revers à la médaille.
C’est le désintérêt de ces mêmes jeunes pour un système de solidarité nationale où les actifs financent les retraités.
Triste.
Mais n’allez pas jouer les étonnés.
Ce n’est qu’un énième sursaut au changement de paradigme social qui bouleverse notre pays depuis le milieu des années 1960. Les solidarités se concentrent désormais autour de la famille nucléaire. Quant aux individus, ils pensent à leur propre confort avant de se soucier du bien commun.
Un réflexe – en fin de compte – assez humain.
Qui sommes-nous pour blâmer nos concitoyens de revenir à leurs instincts primaires, si leur pays ne leur propose pas une destinée collective stimulante ?
Avec ce mouvement que d’aucuns qualifieront d’égoïste, nous risquons de nous rapprocher de la situation des Américains dont le système de retraite repose sur l’épargne individuelle et non la solidarité nationale.
C comme capitalisation, le système de retraite aux États-Unis
Par Gaelle Gicquel
Gaëlle Gicquel est journaliste et elle écrit des articles pour Sweet Home. Je suis heureux de vous présenter son travail dans notre newsletter, une synthèse bien dense sur le système de retraite américain.
Le système de retraite américain se divise en trois éléments principaux :
Le régime fédéral d’assurance vieillesse, qui est un système obligatoire de répartition ;
Les régimes d’entreprise ;
L’épargne retraite individuelle.
Avec la retraite par répartition de l’État fédéral, la taxe est la même pour tout le monde : une déduction de 12,4 % du salaire répartie entre l’employeur et le salarié à parts égales (6,20 %). Ensuite, pour calculer le montant de la pension, on fait la moyenne sur les 35 meilleures années de revenus tout au long de la carrière. Aujourd’hui, à partir de la génération née en 1960, on atteint le taux plein de cotisation à 67 ans. Au final, la pension représente en moyenne la moitié des derniers revenus (après impôts), ce qui ne suffit pas à couler des jours tranquilles.
C’est pourquoi les Américains qui en ont les moyens cotisent en plus dans des fonds de pension afin de se constituer une épargne pour leur retraite. Environ la moitié des Américains, (dont les cadres et les fonctionnaires) investissent dans ces fonds de pension par capitalisation.
Avec le régime d’entreprise, les employeurs (publics ou privés) offrent des régimes de retraite professionnels sous deux formes :
Des prestations définies (pour lesquels l’employeur s’engage à verser au salarié un certain niveau de prestations). Mais elles disparaissent petit à petit et ne couvrent plus qu’une faible minorité des salariés du secteur privé, car les employeurs ne veulent plus assumer le risque retraite.
Des cotisations définies : le plus connu est le Plan 401 (k), défiscalisé. Le capital est alors placé dans un portefeuille d’investissement jusqu’à la retraite. Mais leur intérêt dépend des aléas de la Bourse.
L’épargne retraite individuelle (Individual Retirement Accounts - IRAs) est un autre moyen d’assurer ses vieux jours. Ces comptes de retraite personnels n’impliquent pas l’employeur, et sont totalement gérés par le titulaire du plan.
Sources de cet article3
Une enquête édifiante sur la perception et les attentes en matière de retraite
Restons un petit peu aux USA, le temps de décortiquer une enquête réalisée par le fonds de pension Smart sur les marchés US, UK et Australie en 20214. Vous y apprenez que nos cousins anglo-saxons sont aussi mal lotis que nous en matière de conseil financier. Les enquêteurs ont interviewé 6772 adultes. Les enquêtés ont partagé leurs points de vue et leurs attitudes à l'égard de la retraite. Leurs préoccupations, leur connaissance des options et préférences en matière de gestion de leurs finances à la retraite.
L’enquête est très instructive et bien présentée. Je vous en recommande la lecture et je vous en livre les 3 enseignements les plus significatifs.
#1 Education financière : peut vachement mieux faire
50 % des personnes de 55 ans et plus interrogées n'ont jamais reçu des conseils financiers sur la retraite.
#2 La retraite est un parcours et non une étape
Seules 16 % des personnes interrogées considèrent encore la retraite comme un événement unique. Pour les autres, la retraite est perçue comme un processus.
Les épargnants ont besoin d’une solution de retraite qui répond à leurs besoins jusqu'à et pendant la retraite plutôt que juste au moment où ils prennent leur retraite.
#3 Les citoyens veulent avoir le contrôle
Ils sont 72% à vouloir au moins participer à la gestion de leurs finances pour la retraite ;
Pour 49% des épargnants, pouvoir accéder à leur compte retraite en ligne est primordial ;
40 % souhaiteraient pouvoir moduler leurs revenus et taux de cotisation en fonction de leur situation ;
Et ils sont 32% à plébisciter un dispositif qui leur permette de retirer de l’argent quand ils le désirent.
Un contexte propice au développement des retiretech ?
Les retiretech sont les start-up qui veulent aider les actifs à anticiper leur retraite en réalisant des placements financiers et de l’épargne. Elles proposent des services que les banques, les compagnies d’assurances et les CGP offrent déjà depuis des années (assurance vie, livrets, plans d’épargne), mais elles les intègrent dans des systèmes de gestion plus universels, accessibles, bon marché et prédictifs.
Ces start-up développent des produits et des plateformes numériques qui fournissent des conseils et facilitent la gestion des risques.
Le bon moment pour les retiretech ?
Les retiretech arrivent à un moment particulièrement opportun, qui explique leur succès.
D’une part, les cohortes plus jeunes d'épargnants sont de fervents utilisateurs de la technologie et ils commencent à sérieusement s’inquiéter de leur retraite future.
Et même sans se projeter vers la retraite à 64 ans, le sujet de la finance personnelle a le vent en poupe auprès de certains - jeunes - citoyens. Pour cette minorité croissante, l’investissement dans les cryptos et l’immobilier locatif ainsi que les placements boursiers leur permettront de vivre confortablement à la retraite, voire de la prendre dès 40 ans.
D’autre part, les baby-boomers approchent collectivement de l'âge de la retraite. Ils sont conscients de la faiblesse du montant légal et cherchent des solutions tardives pour l’améliorer. Et ils n’ont pas grand-chose à se mettre sous la dent, à moins de disposer d’un patrimoine immobilier qu’ils pourraient envisager d’engager quand ils auront besoin de liquidités (ce dont nous allons parler dans le prochain dossier Premium, qui sort le 30.01.23).
Comment ça marche, les retiretechs ?
Bien que récente et encore émergente, l’industrie des retiretechs aborde des questions importantes telles que la durée de vie, le mode de vie et l'héritage.
Étant donné que la retraite d'aujourd'hui peut sembler très différente d'une personne à l'autre, des options variées et personnalisées sont de plus en plus recherchées.
Ces solutions doivent être dynamiques, itératives et personnalisables tout au long de la vie d'un consommateur, d'autant plus qu'un Américain sur trois n'a pas d'épargne retraite.
56 % des Américains ont moins de 100 000 $ et le manque d'épargne suffisante pour soutenir la retraite existe dans toutes les CSP.
Qu’est-ce que les retiretech offrent de plus que la banque au coin de la rue ?
Dans retiretech, il y a retire et il y a tech.
Une retiretech va offrir à sa clientèle une parfaite maîtrise des produits financiers dédiés aux futurs retraités, une expérience utilisateur hors du commun (si vous aimez le digital) et le recours à la puissance de calcul offert par l’intelligence artificielle pour faire des propositions sur mesure.
Nous nous appuyons sur la technologie et l’expérience de nos conseillers et gérants pour proposer, sans frais d’entrée, des solutions encore peu vues sur le marché français (ETF) ou réservées à une élite financière (Private Equity). (Proposition de valeur Yomoni)
Zoom sur l’Intelligence artificielle (IA)
L'intelligence artificielle (IA) a eu un impact significatif sur les retiretech, en particulier leurs capacités à modéliser des scénarios hypothétiques et des calculs d'avantages pour les bénéficiaires et à fournir aux promoteurs de régimes des analyses en temps réel pour la prévision des liquidités et la gestion globale des fonds.
Les start-up ont mis en place des chatbots pour une assistance rapide et virtuelle des membres et des clients. Un cas d'utilisation potentiel de l'IA dans les plateformes numériques d'abord pour les conseillers, les assureurs et les systèmes d'administration des retraites comprend l'amélioration de la stratégie d'investissement d'un individu grâce à des recommandations de portefeuille personnalisées.
L'IA peut potentiellement identifier les populations qui ne pourront pas prendre leur retraite en raison d'une épargne insuffisante, ou ceux qui devront faire face à d'autres décisions critiques, telles que ce qu'il faut faire lorsque l'épargne dans un programme de retraite n'est plus économiquement efficace. Dans ces cas, l'IA peut être utilisée pour cibler les membres qui ont besoin d'éducation ou d'un suivi supplémentaire.
Zoom sur l’expérience utilisateur
Les retiretech ont réinventé l'expérience numérique des membres pour favoriser un engagement supplémentaire en libre-service et moderniser l'administration. D'autres innovations conduisent à une communication ciblée vers les actifs et retraités.
Les améliorations incluent une capacité omnicanal pour permettre l'accès des membres sur les smartphones et les tablettes, des fonctionnalités de sécurité améliorées telles que le cryptage de bout en bout pour un e-mail sécurisé et une identification multifacteur, et une évolutivité globale accrue.
L’expérience utilisateur n’est pas un gadget
Le développement des UX (expériences utilisateurs) immersives, de l’IA prédictive et d’un niveau de décision délégué plus important pourrait avoir une incidence sur les attentes des consommateurs.
L’impact des interfaces digitales sur nos modes de consommation ne porte pas que sur le fonds, mais aussi sur la forme. Des apps comme Deliveroo, Airbnb ou Uber ont influencé l’ergonomie de leur écosystème et plus largement de tous les écosystèmes de consommation B2C.
Et donc demain, plus des apps qui font de l’expérience client et de la transparence une priorité se généraliseront, plus des programmes opaques qui ne donnent qu’un accès limité et chiche à leur information seront ringardisés et plus les consommateurs réclameront l’alternative transparente et sexy.
The Medium is the message - Marshall McLuhan
Prenons un exemple autour de votre retraite complémentaire
Faisons un jeu.
Observons l’expérience utilisateur d’un bénéficiaire de caisse de retraite. Si vous avez déjà travaillé, quel que soit votre statut, vous êtes bénéficiaire d’une caisse complémentaire de retraite.
Posez-vous ces 4 questions en répondant par OUI ou NON.
Savez-vous qui est votre caisse de retraite ?
Savez-vous si vous disposez d’un espace client sur leur site internet ?
Savez-vous à quoi correspondent les cotisations que vous payez ?
Disposez-vous d’une bonne visibilité sur la retraite que vous pourriez percevoir quand vous la prendrez et des options qui s’offrent à vous pour augmenter le montant ?
Si vous avez répondu non à une au moins de ces questions, vous êtes-vous déjà demandé pourquoi ces informations vous sont-elles inaccessibles ?
Pendant combien de temps accepterez-vous encore d’être maintenu dans le noir alors que des fintechs vous donnent un accès étendu à l’information, vous aident à prendre des décisions éclairées et vous permettent même d’agir vous-même sur les montants.
Le consommateur a le pouvoir de choisir
Bien sûr, vous ne pourrez pas faire grand-chose si votre caisse de retraite complémentaire refuse de changer son mode d’accès à l’information (et il y a de fortes chances pour que ce soit le cas). Comme ce régime est obligatoire et dépend du statut de votre employeur, vous êtes condamné à en subir les carences.
Mais imaginons que vous décidiez de prendre une surcomplémentaire ou un dispositif d’épargne. À moins d’être masochiste, vous n’allez pas choisir de le confier à un prestataire dont vous n’êtes pas satisfait. Vous irez vers des enseignes qui proposent une solution plus adaptée à vos modes de consommation.
Et donc, les caisses de retraite, banques, assurances ont une carte à jouer pour adapter leurs interfaces à la nouvelle demande. Car elles ont la crédibilité, elles ont l’organisation, elles ont les moyens. Il ne leur manque que l’envie. Ou l’ouverture d’esprit.
Or, la diversification des offres est aussi un enjeu pour ces organismes. Rien ne garantit la pérennité des régimes obligatoires dont ils ont historiquement la charge. Ils ont donc intérêt à saisir le train de la modernité plutôt que de rester sur le quai à regarder leurs clients partir chez Caravel ou Yomoni.
Épilogue ?
J’ai consacré ce dossier au contexte et à l’analyse des besoins, plutôt qu’à celle de l’offre. Et donc, à part deux extraits de sites de 2 boîtes (Yomoni et Caravel), je ne vous ai pas dit grand-chose sur l’offre. Or, j’ai sourcé une quinzaine de projets qui mériteraient un peu coup de projecteur, que je ne leur ai pas accordé faute de place et de temps.
Si vous souhaitez que j’approfondisse cet aspect, c’est très simple : montrez-moi que le sujet vous intéresse en partageant ce dossier à votre réseau afin de lui donner de la visibilité.
C’est à mon avis la meilleure preuve que je puisse recevoir que vous désirez un approfondissement, n’est-ce pas ?
Enquête INSEE sur les retraites (février 2020) : https://www.insee.fr/fr/statistiques/4277705?sommaire=4318291
Rapport annuel du COR (juin 2019) : https://www.cor-retraites.fr/sites/default/files/2019-06/doc-4646.pdf
Sources de l’article de Gaëlle Gicquel :
https://www.senat.fr/rap/r02-367/r02-367121.html
https://www.la-retraite-en-clair.fr/retraite-france-monde/retraite-etranger/retraite-etats-unis
Enquête Smart, the future of retirement (mai 2021) : https://assets.website-files.com/5ce68aba5375cabb8f952335/609175d39c4a9b54f9ad911e_The future of retirement.pdf
Silver économie 🤔 Les tendances du marché pour 2023 - Partie 2/3
Comme d'hab. bien construit, très instructif, et pour une fois, j'ai l'impression que cette newsletter me concerne personnellement...(c'est peut-être pas très bon signe).