Quelle est la proportion de "citoyens" qui aspirent consciemment à une liberté absolue?
Je crains quelle soit infinitésimale si nous observons le monde dans lequel nous évoluons.
En effet tout est régie sur la recherche de la satisfaction immédiate occasionnant une addiction à une consommation débridée couteuse (et souvent débile) nous empêchant la construction d'une autonomie financière qui serait un facteur déterminant (certes pas le seul) de notre liberté absolue.
Vous avez raison, mais on pourrait tirer le fil de la réflexion en se demandant s'il faut essayer d'amener les citoyens non libéraux à la raison (chérir la liberté plus que tout et construire une société qui repose sur la liberté) ou construire une société avec les citoyens qui aspirent au même niveau de liberté que vous et moi.
Intéressant comme d'habitude.
Il y a cependant un aspect liminaire au débat.
Quelle est la proportion de "citoyens" qui aspirent consciemment à une liberté absolue?
Je crains quelle soit infinitésimale si nous observons le monde dans lequel nous évoluons.
En effet tout est régie sur la recherche de la satisfaction immédiate occasionnant une addiction à une consommation débridée couteuse (et souvent débile) nous empêchant la construction d'une autonomie financière qui serait un facteur déterminant (certes pas le seul) de notre liberté absolue.
Vous avez raison, mais on pourrait tirer le fil de la réflexion en se demandant s'il faut essayer d'amener les citoyens non libéraux à la raison (chérir la liberté plus que tout et construire une société qui repose sur la liberté) ou construire une société avec les citoyens qui aspirent au même niveau de liberté que vous et moi.
L'option 2 me parait plus réaliste.
Et même plus morale.
Car de quel droit devrais je influencer des personnes à chérir la liberté alors qu'elles aspirent (et souvent demandent) à avoir des maitres.