Oui la restriction des libertés des personnes âgées particulièrement en EHPAD est très forte. Mais EHPAD dit soins et secteur en deficit de personnel (qui plus est, formé à cet état d'esprit). La faiblesse des uns rencontre l'incapacité des autres à la prendre en charge. Je lis vos textes avec grand intérêt. Cette thématique renvoie à toutes les situations de restriction de liberté en milieu médical, enfermement ou contention, pour lequel un juge devrait donner une autorisation mais où la parole des soignants dépassés par les prise en charge insuffisantes devient la seule.
Ce n’est pas la première fois que tu abordes ce sujet. Je partage totalement ton point de vue notamment depuis que j’ai lancé le projet « bienfaisants ». Mais en réfléchissant souvent à cette vision, c’est vrai que ce n’est finalement pas simple d’inclure du préventif sans qu’on donne l’impression que ça y soit.
Le mot prévention est chargé des mêmes connotations que "bien vieillir". C'est des personnes qui cherchent une solution à des problèmes futurs que d'autres personnes pourraient avoir.
Il me met mal à l'aise dans le contexe de la longévité.
Et je ne suis pas sûr qu'un autre mot convienne mieux.
A moins de lui conserver sa connotation sanitaire et de le confiner dans la case santé, et de parler autrement pour tous les aspects de la vie qui doivent être préparés ou anticipés : le logement, la vie sociale, les finances personnelles, les occupations (ce que tu fais de ta vie).
Peut être qu’il faudrait interroger les aidants d’aujourd’hui qui seront possiblement les aidés de demain. Je suis aidante mais pas assez objective puisque je suis piquée silvereco et prévention
Oui, mais il faudrait aussi aider les citoyens à penser au sujet par eux-mêmes. Si tu pointes les aidants, tu te concentres sur les gens qui ont un problème, non ?
Or, la question ne se limite pas à ceux qui ont besoin d'aide tout de suite. Il faudrait aussi donner un coup de pouce aux autres. Dans une démarche plus éducative...
Oui la restriction des libertés des personnes âgées particulièrement en EHPAD est très forte. Mais EHPAD dit soins et secteur en deficit de personnel (qui plus est, formé à cet état d'esprit). La faiblesse des uns rencontre l'incapacité des autres à la prendre en charge. Je lis vos textes avec grand intérêt. Cette thématique renvoie à toutes les situations de restriction de liberté en milieu médical, enfermement ou contention, pour lequel un juge devrait donner une autorisation mais où la parole des soignants dépassés par les prise en charge insuffisantes devient la seule.
Ce n’est pas la première fois que tu abordes ce sujet. Je partage totalement ton point de vue notamment depuis que j’ai lancé le projet « bienfaisants ». Mais en réfléchissant souvent à cette vision, c’est vrai que ce n’est finalement pas simple d’inclure du préventif sans qu’on donne l’impression que ça y soit.
Le mot prévention est chargé des mêmes connotations que "bien vieillir". C'est des personnes qui cherchent une solution à des problèmes futurs que d'autres personnes pourraient avoir.
Il me met mal à l'aise dans le contexe de la longévité.
Et je ne suis pas sûr qu'un autre mot convienne mieux.
A moins de lui conserver sa connotation sanitaire et de le confiner dans la case santé, et de parler autrement pour tous les aspects de la vie qui doivent être préparés ou anticipés : le logement, la vie sociale, les finances personnelles, les occupations (ce que tu fais de ta vie).
Peut être qu’il faudrait interroger les aidants d’aujourd’hui qui seront possiblement les aidés de demain. Je suis aidante mais pas assez objective puisque je suis piquée silvereco et prévention
Oui, mais il faudrait aussi aider les citoyens à penser au sujet par eux-mêmes. Si tu pointes les aidants, tu te concentres sur les gens qui ont un problème, non ?
Or, la question ne se limite pas à ceux qui ont besoin d'aide tout de suite. Il faudrait aussi donner un coup de pouce aux autres. Dans une démarche plus éducative...
Mon idée était plutôt de leur demander ce qui serait prêt à faire pour ne pas « devenir » comme leur parent aidé.
J’entends souvent les deux extrêmes de la part de mes amis aidants :
1) à voir comment on devient vieux autant en profiter maintenant
2) je ne veux vraiment pas devenir comme mon père donc je fais attention à ma santé