La prochaine entrée en vigueur de MaPrimeAdapt’ suscite des interrogations nombreuses chez toutes les parties prenantes.
Les bénéficiaires se demandent comment obtenir l’aide, et s’ils y auront droit,
Les collectivités locales veulent aider leurs citoyens et les protéger des arnaques,
Les pouvoirs publics veulent s’assurer de sa rentabilité, en mesurant l’écart coûts - bénéfices,
Les fédérations professionnelles veulent accompagner leurs adhérents
Les professionnels impliqués (distributeurs, artisans, AMO, ergothérapeutes) veulent tirer parti du dispositif pour développer leur activité.
En bref, tout le monde pourrait être gagnant dans l’histoire, à condition que le plan se déroule sans accroc.
Or, bien que le dispositif semble simple comme bonjour vu de l’extérieur, il s’avère en réalité bien complexe dès qu’on en discute avec des parties prenante qui ont déjà été confrontées au financement de travaux par des aides publiques.
J’ai donc décidé d’aller à la rencontre de ces professionnels afin de comprendre leur état d’esprit, leurs craintes et leurs espoirs. Mais aussi afin de vous éclairer, chers abonnés, sur les formidables opportunités de MaPrimeAdapt’.
C’est dans cet état d’esprit que j’ai interviewé Stéphane Rakotomalala, un professionnel aguerri de l’adaptation du domicile. Avec Evolyo, la structure qu’il a co-fondée et lancée fin 2019, Stéphane accompagne les consommateurs souhaitant rénover leur salle de bains. Le produit phare de la firme est une douche sur mesure qui coûte 1990 €, pose comprise.
Stéphane n’est pas venu faire l’article de son catalogue, mais pour échanger à bâtons rompus et sans langue de bois autour des enjeux et perspective du marché.
Annexe : les informations évoquées pendant le podcast
Etude EY pour France Silver Eco sur le bénéfice escompté de Ma PrimeAdapt,
Mon dossier complet sur le lancement de Ma PrimeAdapt’
La douche pourpre que Stéphane a installé chez sa cliente
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